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LE GRAND VIRAGE : Quand la Belgique décide d’avancer

2026 sera une rupture, une vraie.

Une rupture qui se lit dans les chiffres, dans les décisions, dans l’état d’esprit. Pendant des années, on nous a répété que la modernisation du travail était impossible, trop risquée, trop ambitieuse. Et soudain… tout bouge. Les flexi-jobs s’ouvrent à tous les secteurs, oui, tous. Ce n’est plus une niche, ce n’est plus réservé à quelques centaines de milliers de personnes : c’est une liberté potentielle pour des millions de travailleurs, dont des centaines de milliers de jeunes.

Et ce n’est pas tout ! Le nombre d’heures supplémentaires défiscalisées augmente. Plus de possibilités, plus de marge, plus d’oxygène. On parle d’un système qui permet à des dizaines de milliers de jeunes actifs de gagner plus sans être étouffés. Une évolution qui peut représenter plusieurs centaines d’euros nets par an pour ceux qui s’investissent davantage. C’est un signal fort : l’effort n’est plus puni, il est reconnu.

Pour la jeunesse, c’est une révolution silencieuse. Cela signifie pouvoir combiner un job et une passion. Un stage et un revenu, concrètement ; un projet et une sécurité. Cela signifie ne plus être bloqué par un cadre rigide, mais porté par un système qui s’adapte. Oui, 2026, c’est l’année où la liberté professionnelle cesse d’être un luxe pour devenir un outil accessible.

Et cette semaine, le fédéral a confirmé cette orientation. Une dynamique qui, si elle se poursuit, pourrait générer des milliers de nouvelles opportunités, des milliers de parcours plus souples, des milliers de trajectoires libérées. Ce n’est pas un détail. C’est un changement de culture.

Mais pendant qu’on avance, certains veulent encore reculer. La taxe Dermine à Charleroi illustre parfaitement ce tir à contre-sens. Un aéroport qui fait vivre des milliers d’emplois directs et indirects. Un aéroport qui est un moteur économique pour une région qui en a besoin comme jamais. Et pourtant, voilà qu’on propose d’alourdir sa charge. D’alourdir son activité. D’alourdir ce qui fonctionne encore, quelle indécence !

Comment peut-on espérer redresser une région en taxant un de ses poumons économiques ? Comment peut-on parler de compétitivité alors qu’on pénalise un hub qui transporte des millions de passagers par an et qui irrigue tout un écosystème ? C’est un contresens, une incohérence, les mêmes gens qui vous parle de rage taxatoire vous informe tout d’un coup que nous allons tous passer au portefeuille si nous voulons voyager afin de laisser l’administration de Charleroi continuer dans l’excès budgétaire ?

La jeunesse le voit et le comprend. D’un côté : la liberté, l’effort reconnu, les opportunités, les chiffres qui montent. De l’autre : les taxes, les obstacles, les réflexes du passé. Le choix est clair et notre génération ne s’y trompe pas. Elle choisit l’avenir, l’ouverture et même… l’audace !

2026 ne sera pas une parenthèse. 2026 doit être une trajectoire, un renouveau, le sentiment que oui, ce pays va se remettre sur pieds parce que c’est finalement la politique c’est quoi ? C’est améliorer la société dans laquelle on vit.

Et nous serons là pour le rappeler.
Parce qu’un pays ne progresse pas en freinant ceux qui veulent avancer.
Il progresse en leur donnant la liberté de réussir.

Et cette liberté, aujourd’hui, elle porte un nom : la jeunesse qui se lève.

 

David CIOPONEA

Délégué Emploi, Entrepreneuriat, Économie et Fiscalité

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